• La Nuit

     

       La Nuit

     

     La Nuit

      La Nuit

    La Nuit

      

    La Nuit

     

    O Nuit ! dans la profondeur de ton immensité,

    Lorsque tout bruit s’éteint lentement,

    Lorsque s’allume dans le firmament,

    Le doux scintillement de la voie lactée.

    Qu’il est bon d’entrer dans ton monde,

    Où des milliers de pensées vagabondent

    Et se perdent entre rêve et réalité.

    Comme il est doux de se laisser bercer !

     La Nuit

    Enveloppée dans ton manteau de velours,

    Dans un calme et une sérénité totale,

    Dans la splendeur de ta beauté fatale,

    Dans tes invites à l’amour,

    Dans ta clémence pour celui qui peine,

    En permettant dans son sommeil, l’oubli,

    Du crépuscule jusqu’à l’aube évanouie,

    Que de mystères dans tes veines.

     La Nuit

    O ! nuit étrange et souveraine,

    Qui exerce sur nous tant d’attrait,

    Tu nous attires et nous effraies,

    Tu engloutis toutes formes et les entraines

    Pour les noyer dans tes couleurs foncées.

    Mais parfois, un rayon de Lune,

    Malicieusement apparait,

    Et dans un clair-obscur éphémère,

    Tu laisses le bel astre jouer.

     La Nuit

    O! Reine altière et immuable,

    Tu gardes bien tous tes secrets,

    Ta splendeur dans toute l’immensité,

    Reste pour nous impénétrable.

     La Nuit

    La Nuit

    Ecrit le 22 Décembre 2011

    La Nuit

      

      

     Et soudain...

     La Nuit